Avec plaisir pour ton retour, en espérant que ça te plaise. Pour la politique prix, je ne suis pas sûr de mon choix du cher, mais écoute outre ses vertus classiques, je me dis aussi que si un jour je suis édité, il n'y aura pas d'antécédant bloquant. Cela peut rester ou haut ou être abaissé.
Pour la violence de Traquer la bête, certes il y en a, dans des strates visibles et d'autres plus cachées, mais c'est loin d'être l'alpha et l'omega du bouquin. Il y ait aussi question de liberté de choix, de notre nature profonde, et aussi d'une anticipation possible où le développement de l'humanité arrive à la croisée des chemins, entre l'IA, le transhumanisme et la fuite dans le confort de la réalité virtuelle.
Il y a Traquer la bête (thriller SF) et Enclavia (Fantasy), dispos sur Amazon. Certains personnages font de l'humour, mais à leur façon. Alors parfois ça n'amusera que eux, parfois un public plus large
Enclavia est dans mon Kindle :-) Traquer la bête m'a fait un peu peur (d'ailleurs la couverture est puissante, bravo) à cause de la violence. Bon, ton roman n'est pas seul dans la boiboite, il y a une dizaine de livres devant lui, mais je te dirai ce que j'ai aimé lorsque je l'aurai lu :-)
J'aime bien ta politique du prix, moi aussi je préfère mettre un prix numérique le plus bas possible pour que tout le monde puisse le lire. (même si ça ne les empêche pas d'être allègrement piratés... c'est un autre problème.)
Si ça peut te donner une idée du niveau de violence de Traquer
la bête : je supporte mal certaines scènes, si bras coupés, flots de sang,
hécatombe via un virus dans un SF, etc. ne me gênent d'aucune manière, par
contre les scènes de viols ou de tortures me bouleversent et me font survoler
la page. Bref, le gore oui, la violence non
Dans les livres que je relie régulièrement (genre G.O.T.) je
sais où elles se trouvent et je passe le chapitre. Traquer la bête "ne fait pas dans la dentelle" (euphémisme) mais je
n'ai pas éprouvé le besoin de sauter des pages.
Je pense que pour améliorer son style ça vient avec le temps et la pratique et c'est bien difficile de trouver cela dans un livre méthode. En revanche, apprendre à construire une histoire alors ça oui ;-) . Un livre comme l'anatomie du scénario de John Truby est assez remarquable.
Il y a Traquer la bête (thriller SF) et Enclavia (Fantasy), dispos sur Amazon. Certains personnages font de l'humour, mais à leur façon. Alors parfois ça n'amusera que eux, parfois un public plus large
Si ça peut te donner une idée du niveau de violence de Traquer
la bête : je supporte mal certaines scènes, si bras coupés, flots de sang,
hécatombe via un virus dans un SF, etc. ne me gênent d'aucune manière, par
contre les scènes de viols ou de tortures me bouleversent et me font survoler
la page. Bref, le gore oui, la violence non
Dans les livres que je relie régulièrement (genre G.O.T.) je
sais où elles se trouvent et je passe le chapitre. Traquer la bête "ne fait pas dans la dentelle" (euphémisme) mais je
n'ai pas éprouvé le besoin de sauter des pages.
Merci pour le conseil. De mon côté, j'évite le gore ET la violence, ce qui me limite beaucoup, au cinéma, pour les séries et les romans, hélas. On dirait que notre société ne sait plus que raconter des histoires de meurtres (ce n'est pas une critique des auteurs de policier, simplement de la généralisation du genre), et je déplore un glissement ces dernières décennies vers le héros criminel. Avez-vous remarqué comme les personnages principaux des séries sont souvent eux-même des meurtriers, ou combien il leur est facile de pratiquer la torture ? Et quand ils ne sont pas meurtriers, ils sont autistes, maladie très la mode en ce moment, mais maladie mentale néanmoins.
Difficile de se trouver des modèles cohérents pour les ados actuels...
Je pense que pour améliorer son style ça vient avec le temps et la pratique et c'est bien difficile de trouver cela dans un livre méthode. En revanche, apprendre à construire une histoire alors ça oui ;-) . Un livre comme l'anatomie du scénario de John Truby est assez remarquable.
Je suis d'accord avec toi, la théorie ne suffit pas, il faut aussi la pratique. Je n'ai pas encore lu l'anatomie du scénario mais j'en entends parler depuis tellement longtemps que je vais finir par m'y mettre, merci pour le conseil :-)
Merci pour le conseil. De mon côté, j'évite le gore ET la violence, ce qui me limite beaucoup, au cinéma, pour les séries et les romans, hélas. On dirait que notre société ne sait plus que raconter des histoires de meurtres (ce n'est pas une critique des auteurs de policier, simplement de la généralisation du genre), et je déplore un glissement ces dernières décennies vers le héros criminel. Avez-vous remarqué comme les personnages principaux des séries sont souvent eux-même des meurtriers, ou combien il leur est facile de pratiquer la torture ? Et quand ils ne sont pas meurtriers, ils sont autistes, maladie très la mode en ce moment, mais maladie mentale néanmoins.
Difficile de se trouver des modèles cohérents pour les ados actuels...
Je pense que ce passage à l'anti-héros d'abord vient d'une volonté de changement et de lassitude. Le cliché du héros habituel a tellement été éculé qu'on n'en veut plus, et on tente autre chose. Jusqu'à ce que, encore une fosi, le nouveau modèle soit épuisé. Pour les héros principaux qui ont des maladies mentales, je généraliserais plus encore en disant des héros issus de minorités socialement revendiquées. Un bel exemple aussi avec toutes ces séries très (trop ?) Lgbt qui fleurissent partout depuis quelques années, surtout en production netflix. Mais si beaucoup adorent Sex Education, je n'ai pas aimé. J'ai trouvé que c'était encore plein de clichés basiques, et surtout ils ont voulu y caser autant de "cas lgbt" que possible, ce qui me donne juste l'impression d'une course aux enchères pour voir qui sera le + inclusif dans ses séries et ses persos. Et ça fait trop et caricatural, parce que ça finit par ne pas refléter la réalité, au point qu'un personnage hétérosexuel sera presque "mal" vu et "anormal" d'être aussi "normal", et passe dans la minorité. Dans une série qui se veut réaliste, ça fait un peu tâche.
Je devrais créer un message automatique et le glisser par simple clic : "Je plussoie !" Et voilààà ! ^^ Bon ce serait trop simple. Je voulais juste compléter par une petite pensée. Les productions actuelles (littéraires / visuelles) sont, il est vrai, parfois maladroites. Elles créent des clichés en voulant en effacer de plus anciens. Mais au moins elles parlent de sujets qui sont restés tabous pendant mille ans, et parmi un amas croissant de cacas, on finit quand même pas trouver quelques perles ! Au delà des personnes LGBT, on peut citer la représentation des femmes (ou des hommes! "Tu seras viril mon fils" ), des "non WASP", des personnes pauvres, ou des animaux, de l'environnement... au moins on en parle. Enfin. Maintenant il est effectivement temps que les réalisateurs, producteurs ET écrivains WASP délibèrent un peu de sièges... difficile de parler adroitement de ce qu'on ne connaît pas
Oui c'est sûr... Et ça pose un autre problème. Pour reprendre un exemple de littérature : souvent les personnes blanches peuvent être critiquées pour faire de la littérature avec des personnages noirs, sur un passé d'esclavage par exemple, parce qu'elles ne l'ont pas vécu et ne peuvent pas vraiment y être légitime. Mais quand une personne noire va écrire la même chose, la réaction va être de pointer le texte du doigt parce qu'il a été écrit justement par une personne noire. Pas dans le mauvais sens du terme, mais plutôt l'élever en exception, en contre-pouvoir des écrivains blancs etc. Je sais pas si mon propos est très clair
Merci pour le conseil. De mon côté, j'évite le gore ET la violence, ce qui me limite beaucoup, au cinéma, pour les séries et les romans, hélas. On dirait que notre société ne sait plus que raconter des histoires de meurtres (ce n'est pas une critique des auteurs de policier, simplement de la généralisation du genre), et je déplore un glissement ces dernières décennies vers le héros criminel. Avez-vous remarqué comme les personnages principaux des séries sont souvent eux-même des meurtriers, ou combien il leur est facile de pratiquer la torture ? Et quand ils ne sont pas meurtriers, ils sont autistes, maladie très la mode en ce moment, mais maladie mentale néanmoins.
Difficile de se trouver des modèles cohérents pour les ados actuels...
Je pense que ce passage à l'anti-héros d'abord vient d'une volonté de changement et de lassitude. Le cliché du héros habituel a tellement été éculé qu'on n'en veut plus, et on tente autre chose. Jusqu'à ce que, encore une fosi, le nouveau modèle soit épuisé. Pour les héros principaux qui ont des maladies mentales, je généraliserais plus encore en disant des héros issus de minorités socialement revendiquées. Un bel exemple aussi avec toutes ces séries très (trop ?) Lgbt qui fleurissent partout depuis quelques années, surtout en production netflix. Mais si beaucoup adorent Sex Education, je n'ai pas aimé. J'ai trouvé que c'était encore plein de clichés basiques, et surtout ils ont voulu y caser autant de "cas lgbt" que possible, ce qui me donne juste l'impression d'une course aux enchères pour voir qui sera le + inclusif dans ses séries et ses persos. Et ça fait trop et caricatural, parce que ça finit par ne pas refléter la réalité, au point qu'un personnage hétérosexuel sera presque "mal" vu et "anormal" d'être aussi "normal", et passe dans la minorité. Dans une série qui se veut réaliste, ça fait un peu tâche.
Notre opinion diffère sur la définition du anti-héros. Pour moi les héros criminels qui nous sont donnés en modèle actuellement ne sont pas des anti-héros, et c'est bien là le problème. La anti-héros commet des actes contraires à la morale et il en souffre, ou les événements qui en découlent le rendent malheureux, on peut s'identifier à lui pour ses imperfections car elles sont désignées comme des imperfections.
Le héros criminel qui nous est présenté actuellement a gardé sa position de héro. Oui, il torture, mais c'est pour faire parler le "méchant", oui il tue, mais c'est pour protéger quelqu'un et malgré ces actions qui sont anti-vie, il nous fait croire qu'on peut continuer à vivre d'une façon équilibrée et heureuse, même quand on vient de dégommer 4 ou 5 personnes. On prend une douche et hop, la vie reprend, quand on n'est pas tout simplement valorisé pour nos crimes : le personnage féminin nous trouve encore plus sexy (ou le personnage masculin) ou la société nous applaudit. C'est là que se trouve la perversion, et cela m'inquiète de voir les nouvelles générations nourries de cette perversion. (Dans cette extrême dérive, le cinéma américain arrive même à nous vendre des enfants criminels, félicités par leurs parents comme dans ce film très malsain avec Nicolas Cage, j'ai préféré oublié son titre, ou une version de Peter pan qui présente une affiche avec un jeune Peter pan armé comme un soldat).
Pour le quotas des LGBT dans les séries, contrairement aux charlatoscientifiques qui ont inspiré Freud je n'associe pas l'homosexualité à la maladie mentale, pour moi, entre autiste et gay nous sommes dans un autre registre. Mais je te rejoins sur le fait que comme tout quotas, son côté artificiel est parfois agaçant, surtout qu'on sait bien que les producteurs ne les placent pas là pour l'amour de la liberté, mais pour toucher plus de public et donc plus de fric.
Je devrais créer un message automatique et le glisser par simple clic : "Je plussoie !" Et voilààà ! ^^ Bon ce serait trop simple. Je voulais juste compléter par une petite pensée. Les productions actuelles (littéraires / visuelles) sont, il est vrai, parfois maladroites. Elles créent des clichés en voulant en effacer de plus anciens. Mais au moins elles parlent de sujets qui sont restés tabous pendant mille ans, et parmi un amas croissant de cacas, on finit quand même pas trouver quelques perles ! Au delà des personnes LGBT, on peut citer la représentation des femmes (ou des hommes! "Tu seras viril mon fils" ), des "non WASP", des personnes pauvres, ou des animaux, de l'environnement... au moins on en parle. Enfin. Maintenant il est effectivement temps que les réalisateurs, producteurs ET écrivains WASP délibèrent un peu de sièges... difficile de parler adroitement de ce qu'on ne connaît pas
J'aime beaucoup l'écrivain Dominique Fernandez, dans un de ses livres il fait cette réflexion intéressante au sujet de la gay pride (je cite de mémoire) : "On n'ouvre pas les esprits en les scandalisant, mais en les éduquant par la littérature et les arts"
Dans ce cas, même si le systématisme imposé sous forme de quota est agaçant, on peut se dire que l'art joue son rôle éducatif. Notre génération a du mal à réaliser qu'il y a encore 60 ans la littérature gay était censurée et les auteurs marginalisés. Aujourd'hui je peux écrire des histoires qui mélangent gays et hétéros sans qu'on vienne me demander des comptes, je suis contente de cette liberté.
Par contre, ce que je reproche aux auteurs de séries et romans qui surfent sur la mode LGBT c'est de stigmatiser les homos en leur faisant singer les hétéros : notez le nombre de personnages gay qui sont ou veulent se marier et adopter des enfants. C'est difficile de parler d'ouverture à la différence quand on demande à ceux qui sont différents de se fondre dans la masse.
Peut-être que les LGBT devraient réclamer la justice plutôt que l'égalité
Par contre, ce que je reproche aux auteurs de séries et romans qui surfent sur la mode LGBT c'est de stigmatiser les homos en leur faisant singer les hétéros : notez le nombre de personnages gay qui sont ou veulent se marier et adopter des enfants. C'est difficile de parler d'ouverture à la différence quand on demande à ceux qui sont différents de se fondre dans la masse.
Peut-être que les LGBT devraient réclamer la justice plutôt que l'égalité
Dans un
monde où un couple hétéro déclarant ne pas vouloir d'enfant se voit encore coller
l'étiquette "égoïstes" comment croire qu'un couple homo trouvera
grâce aux yeux des bien-pensants s'il ne cherche pas à adopter ???
Le fait de ne pas vouloir
d'enfant m'a, d'une certaine façon, marginalisée il y a quarante ans. J'ai pu
constater récemment qu'un jeune couple de mes amis se prenait les mêmes
réflexions : égoïste, tu vas regretter plus tard, tu ne construis rien, un
enfant c'est une preuve d'amour, etc etc.
Les années ne feront rien à l'affaire : la masse veut que les autres soient comme elle, pour prouver qu'elle a raison, qu'elle est "normale".
Oui c'est sûr... Et ça pose un autre problème. Pour reprendre un exemple de littérature : souvent les personnes blanches peuvent être critiquées pour faire de la littérature avec des personnages noirs, sur un passé d'esclavage par exemple, parce qu'elles ne l'ont pas vécu et ne peuvent pas vraiment y être légitime. Mais quand une personne noire va écrire la même chose, la réaction va être de pointer le texte du doigt parce qu'il a été écrit justement par une personne noire. Pas dans le mauvais sens du terme, mais plutôt l'élever en exception, en contre-pouvoir des écrivains blancs etc. Je sais pas si mon propos est très clair
Je suppose que c'est pour ça que l'empathie est une qualité essentiel pour les écrivains. Ce serait tellement ennuyeux pour moi de n'écrire que des histoires dont l'héroïne serait... moi !!!
Par contre, ce que je reproche aux auteurs de séries et romans qui surfent sur la mode LGBT c'est de stigmatiser les homos en leur faisant singer les hétéros : notez le nombre de personnages gay qui sont ou veulent se marier et adopter des enfants. C'est difficile de parler d'ouverture à la différence quand on demande à ceux qui sont différents de se fondre dans la masse.
Peut-être que les LGBT devraient réclamer la justice plutôt que l'égalité
Dans un
monde où un couple hétéro déclarant ne pas vouloir d'enfant se voit encore coller
l'étiquette "égoïstes" comment croire qu'un couple homo trouvera
grâce aux yeux des bien-pensants s'il ne cherche pas à adopter ???
Le fait de ne pas vouloir
d'enfant m'a, d'une certaine façon, marginalisée il y a quarante ans. J'ai pu
constater récemment qu'un jeune couple de mes amis se prenait les mêmes
réflexions : égoïste, tu vas regretter plus tard, tu ne construis rien, un
enfant c'est une preuve d'amour, etc etc.
Les années ne feront rien à l'affaire : la masse veut que les autres soient comme elle, pour prouver qu'elle a raison, qu'elle est "normale".
Je connais bien ces arguments, ayant choisi moi aussi de ne pas devenir maman, mais en règle générale, les gens ne m'embête pas trop sur le sujet, je suis plutôt la confidente à qui ils osent dire "si j'avais su j'en aurai pas fait" parce qu'ils savent qu'ils ne seront pas jugés :-)
Alala ces arguments dont on nous remplit les oreilles à longueur de temps afin de nous forcer à accepter la maternité. Il y a le très classique aussi "non mais tu es jeune, tu ne sais pas ce qui peut se passer, dans 10ans tu en voudras sûrement, tu as largement le temps de changer d'avis"
Alala ces arguments dont on nous remplit les oreilles à longueur de temps afin de nous forcer à accepter la maternité. Il y a le très classique aussi "non mais tu es jeune, tu ne sais pas ce qui peut se passer, dans 10ans tu en voudras sûrement, tu as largement le temps de changer d'avis"
Toutes les femmes que je connais et qui ont vécu ça au début de leur majorité... aucune n'a changé d'avis dix ans plus tard ! ^^
Alala ces arguments dont on nous remplit les oreilles à longueur de temps afin de nous forcer à accepter la maternité. Il y a le très classique aussi "non mais tu es jeune, tu ne sais pas ce qui peut se passer, dans 10ans tu en voudras sûrement, tu as largement le temps de changer d'avis"
Je n'ai jamais changé d'avis à ce sujet et ne l'ai jamais regretté. J'ai tout de même eu des enfants... tout faits par l'intermédiaire de mon homme... cela dit, ils étaient adultes et c'est bien pratique :-).
Eh bien, ne pas vouloir d'enfants est finalement une opinion plus répandue que ce que je pensais. On verra si la vie me fera changer d'avis mais... depuis déjà un bon nombre d'années je suis catégorique sur le fait que je n'en veux pas.
Eh bien, ne pas vouloir d'enfants est finalement une opinion plus répandue que ce que je pensais. On verra si la vie me fera changer d'avis mais... depuis déjà un bon nombre d'années je suis catégorique sur le fait que je n'en veux pas.
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Eh bien, ne pas vouloir d'enfants est finalement une opinion plus répandue que ce que je pensais. On verra si la vie me fera changer d'avis mais... depuis déjà un bon nombre d'années je suis catégorique sur le fait que je n'en veux pas.
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Eh bien, ne pas vouloir d'enfants est finalement une opinion plus répandue que ce que je pensais. On verra si la vie me fera changer d'avis mais... depuis déjà un bon nombre d'années je suis catégorique sur le fait que je n'en veux pas.
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Eh bien, ne pas vouloir d'enfants est finalement une opinion plus répandue que ce que je pensais. On verra si la vie me fera changer d'avis mais... depuis déjà un bon nombre d'années je suis catégorique sur le fait que je n'en veux pas.
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Vous avez quatre heures :-) Ou toute la vie...
Mais quelle pertinente interrogation !!! Cela dit personnellement je suis moins catégorique (sur la volonté de ne pas en avoir). Incapable de trancher.
Eh bien, ne pas vouloir d'enfants est finalement une opinion plus répandue que ce que je pensais. On verra si la vie me fera changer d'avis mais... depuis déjà un bon nombre d'années je suis catégorique sur le fait que je n'en veux pas.
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Vous avez quatre heures :-) Ou toute la vie...
Mais quelle pertinente interrogation !!! Cela dit personnellement je suis moins catégorique (sur la volonté de ne pas en avoir). Incapable de trancher.
Eh bien, je dirais que c'est un peu normal parce qu'à ton âge, tu as tout de même le temps (et le droit) de changer d'avis :-).
Eh bien, je dirais que c'est un peu normal parce qu'à ton âge, tu as tout de même le temps (et le droit) de changer d'avis :-).
Ça serait quand même très triste si on ne pouvait jamais changer d'avis dans la vie... la terreur de chaque décision. Surtout si ça compte dès qu'on est enfant
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Eh bien, je dirais que c'est un peu normal parce qu'à ton âge, tu as tout de même le temps (et le droit) de changer d'avis :-).
Ça serait quand même très triste si on ne pouvait jamais changer d'avis dans la vie... la terreur de chaque décision. Surtout si ça compte dès qu'on est enfant
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Vous avez quatre heures :-) Ou toute la vie...
Toute la vie... disons tant qu'on reste fertile
Fertile en mots, parce qu'on peut tout de même disserter jusqu'à la fin, même quand on n'est plus dans le train (j'ai 64 ans).
Réponses
Si ça peut te donner une idée du niveau de violence de Traquer la bête : je supporte mal certaines scènes, si bras coupés, flots de sang, hécatombe via un virus dans un SF, etc. ne me gênent d'aucune manière, par contre les scènes de viols ou de tortures me bouleversent et me font survoler la page. Bref, le gore oui, la violence non
Dans les livres que je relie régulièrement (genre G.O.T.) je sais où elles se trouvent et je passe le chapitre. Traquer la bête "ne fait pas dans la dentelle" (euphémisme) mais je n'ai pas éprouvé le besoin de sauter des pages.
Je pense que pour améliorer son style ça vient avec le temps et la pratique et c'est bien difficile de trouver cela dans un livre méthode. En revanche, apprendre à construire une histoire alors ça oui ;-) .
Un livre comme l'anatomie du scénario de John Truby est assez remarquable.
Pour les héros principaux qui ont des maladies mentales, je généraliserais plus encore en disant des héros issus de minorités socialement revendiquées. Un bel exemple aussi avec toutes ces séries très (trop ?) Lgbt qui fleurissent partout depuis quelques années, surtout en production netflix. Mais si beaucoup adorent Sex Education, je n'ai pas aimé. J'ai trouvé que c'était encore plein de clichés basiques, et surtout ils ont voulu y caser autant de "cas lgbt" que possible, ce qui me donne juste l'impression d'une course aux enchères pour voir qui sera le + inclusif dans ses séries et ses persos. Et ça fait trop et caricatural, parce que ça finit par ne pas refléter la réalité, au point qu'un personnage hétérosexuel sera presque "mal" vu et "anormal" d'être aussi "normal", et passe dans la minorité. Dans une série qui se veut réaliste, ça fait un peu tâche.
Et voilààà ! ^^
Bon ce serait trop simple. Je voulais juste compléter par une petite pensée. Les productions actuelles (littéraires / visuelles) sont, il est vrai, parfois maladroites. Elles créent des clichés en voulant en effacer de plus anciens. Mais au moins elles parlent de sujets qui sont restés tabous pendant mille ans, et parmi un amas croissant de cacas, on finit quand même pas trouver quelques perles ! Au delà des personnes LGBT, on peut citer la représentation des femmes (ou des hommes! "Tu seras viril mon fils"
Dans un monde où un couple hétéro déclarant ne pas vouloir d'enfant se voit encore coller l'étiquette "égoïstes" comment croire qu'un couple homo trouvera grâce aux yeux des bien-pensants s'il ne cherche pas à adopter ???
Le fait de ne pas vouloir d'enfant m'a, d'une certaine façon, marginalisée il y a quarante ans. J'ai pu constater récemment qu'un jeune couple de mes amis se prenait les mêmes réflexions : égoïste, tu vas regretter plus tard, tu ne construis rien, un enfant c'est une preuve d'amour, etc etc.
Les années ne feront rien à l'affaire : la masse veut que les autres soient comme elle, pour prouver qu'elle a raison, qu'elle est "normale".
Je suppose que c'est pour ça que l'empathie est une qualité essentiel pour les écrivains. Ce serait tellement ennuyeux pour moi de n'écrire que des histoires dont l'héroïne serait... moi !!!
Je connais bien ces arguments, ayant choisi moi aussi de ne pas devenir maman, mais en règle générale, les gens ne m'embête pas trop sur le sujet, je suis plutôt la confidente à qui ils osent dire "si j'avais su j'en aurai pas fait" parce qu'ils savent qu'ils ne seront pas jugés :-)
Je n'ai jamais changé d'avis à ce sujet et ne l'ai jamais regretté.
J'ai tout de même eu des enfants... tout faits par l'intermédiaire de mon homme... cela dit, ils étaient adultes et c'est bien pratique :-).
Autour de moi, plus les gens sont créatifs, moins ils sont enclins à faire des enfants. Procréation/Création, on pourrait se demander lequel est l’œuf et lequel est la poule. Est-ce parce qu'on n'a pas d'enfants qu'on a la disponibilité nécessaire à la créativité ? Ou est-ce parce qu'on est déjà dans un processus de création qu'on n' a pas besoin de remplir sa vie avec la procréation ?
Vous avez quatre heures :-)
Ou toute la vie...
Mais quelle pertinente interrogation !!!
Cela dit personnellement je suis moins catégorique (sur la volonté de ne pas en avoir). Incapable de trancher.
Eh bien, je dirais que c'est un peu normal parce qu'à ton âge, tu as tout de même le temps (et le droit) de changer d'avis :-).
N'est-ce pas ?! Ça fait peur, hein ? :-)
Fertile en mots, parce qu'on peut tout de même disserter jusqu'à la fin, même quand on n'est plus dans le train (j'ai 64 ans).
Bien entendu oui