Les histoires, une maladie congénitale

Bonjour à tou/te/s,
De bouche à oreille, de main à papier (devenu numérique), j'ai découvert tout récemment l'existence de ce nouveau continent : Nouvelles Plumes.
Moi qui pensait que seules les Maisons d'Edition et son Nemesis l'Auto-édition existaient ! J'ai été heureuse de repérer cet étrange concept, où un éditeur s'appuie sur d'humbles lecteurs (et non sur un mystérieux comité professionnel qui représente, à mon échelle, les Dieux inaccessibles de l'Olympe) pour repérer ses futures auteur/e/s et proposer des pistes d'amélioration à tout un chacun.
Enflammée par l'aventure, depuis ma bouée, j'ai jeté mon manuscrit dans une - grosse - bouteille en direction de votre île. Pour le moment, il n'a pas atteint vos côtes. Nous verrons bien. La distance est traîtresse en haute mer, mais cette terre me paraît plus accessible que celle des autres ME.
Mais quel rapport avec le titre de ce post ? Eh bien, je suis atteinte d'un mal incurable depuis ma naissance : les histoires. D'abord avec les crayons de couleur, puis avec les stylos, et enfin les claviers. Vingt-huit années sont passées, et la maladie s'aggrave. Pourtant, ma vie est bien remplie, métier passionnant, proches irréprochables dont mon âme-sœur, mais je ne pourrai jamais me passer de cet outil formidable que sont les histoires. Celles des autres conteurs tous supports confondus, celles des jeux de rôle, mais aussi les miennes. En 2016, délaissant les "one shot" historiques et fantastiques de mon enfance, j'ai démarré une histoire ambitieuse en Fantasy. Grâce aux auteurs du genre et à mon expérience des GN, je savais qu'il était possible d'user de la Fantasy pour passer les messages les plus "polémiques" sur notre propre monde. Trois ans et 5 mois plus tard, j'ai terminé la première partie de mon projet, un pavé de 478 pages en A4 (..... plus de 900 pages pour Nouvelles Plumes, passera-t-il ? Un auteur m'a dit de le couper en deux, mais je n'ai pas de sabre! Et plus je tente de l'améliorer, plus il grossit, le manant) que j'ai envoyé sur NP il y a quelques jours, après quatre mois de correction. En attendant, pour ne pas mourir noyée par l'attente, j'écris la suite.
Ce que j'aime dans une histoire, au-delà des miroirs de notre monde réel pour la Fantasy (je lis de tout, mais vous l'aurez compris, j'ai une préférence pour la Fantasy, avec juste derrière les romans historiques, fantastiques et les policiers à la Michel Bussi):
- Les personnages complexes et approfondis, dont les chemins se (re)croisent et se séparent au gré des tempêtes. Chacun représente une pièce d'un puzzle dont le lecteur a une vue d'ensemble à la toute fin du récit.
- Les intrigues, les secrets bien gardés, les cicatrices visibles ou non de chaque être, secondaire ou principal.
- Démolir les clichés à coup de boulets de canon. Noyer les fils narratifs habituels, forcés ou rouge sang. Exécrer les personnages manichéens. Pour cet aspect, je vous renvois à mon grand amour : GRR Martin. Longue vie à lui (histoire aussi qu'on ait un jour la suite!)
- Les clins d’œil à des faits historiques, culturels ou sociologiques. Voire à d'autres auteurs qui, me concernant, ont marqué ma vie.
- Les petits détails qui permettent de s'immerger complètement dans l'histoire, de la rendre si réelle que les mots s'effacent pour former des images et des sons, voire des odeurs. Je n'apprécie donc pas les récits qui enchaînent l'action par peur de l'ennui (sauf exception, si les personnages m'accrochent), ceux qui usent de personnages-outils, qui ne développent pas, qui effleurent... qui font pleuvoir les clichés (la femme à choper, le meilleur ami, le héros, le méchant, le comique de service...).
Conclusion : les goûts et les couleurs, n'est-il pas ?
Sinon, je viens de la montagne, je suis née à l'est mais je viens du nord, je cumule les remises en question (je suis végétarienne, apicultrice, zéro déchet, zéro plastique, zéto smartphone, zéro télévision, zéro béton et anti-consumérisme, et tout ceci dans une famille de joyeux viandards consommateurs qui doit me supporter) mais je suis tombée dans la marmite "geek" quand j'étais petite et je n'en sortirai jamais. Bref, j'ai trouvé le chalet FSC à cheminée et j'attends de remplacer la voiture par un cheval, mais... le travail se fait encore loin, géographiquement...
Enfin, j'aimerais - j'ai essayé, vraiment - pouvoir lire des histoires en format numérique, on m'a prêté une liseuse, mais j'en suis totalement incapable. J'ai besoin d'un livre papier. L'odeur et le toucher me sont indispensables pour l'immersion. Un écueil pour l'environnement, mais une vague pour le moment infranchissable avec ma bouée...
Je vous salut.
De bouche à oreille, de main à papier (devenu numérique), j'ai découvert tout récemment l'existence de ce nouveau continent : Nouvelles Plumes.
Moi qui pensait que seules les Maisons d'Edition et son Nemesis l'Auto-édition existaient ! J'ai été heureuse de repérer cet étrange concept, où un éditeur s'appuie sur d'humbles lecteurs (et non sur un mystérieux comité professionnel qui représente, à mon échelle, les Dieux inaccessibles de l'Olympe) pour repérer ses futures auteur/e/s et proposer des pistes d'amélioration à tout un chacun.
Enflammée par l'aventure, depuis ma bouée, j'ai jeté mon manuscrit dans une - grosse - bouteille en direction de votre île. Pour le moment, il n'a pas atteint vos côtes. Nous verrons bien. La distance est traîtresse en haute mer, mais cette terre me paraît plus accessible que celle des autres ME.
Mais quel rapport avec le titre de ce post ? Eh bien, je suis atteinte d'un mal incurable depuis ma naissance : les histoires. D'abord avec les crayons de couleur, puis avec les stylos, et enfin les claviers. Vingt-huit années sont passées, et la maladie s'aggrave. Pourtant, ma vie est bien remplie, métier passionnant, proches irréprochables dont mon âme-sœur, mais je ne pourrai jamais me passer de cet outil formidable que sont les histoires. Celles des autres conteurs tous supports confondus, celles des jeux de rôle, mais aussi les miennes. En 2016, délaissant les "one shot" historiques et fantastiques de mon enfance, j'ai démarré une histoire ambitieuse en Fantasy. Grâce aux auteurs du genre et à mon expérience des GN, je savais qu'il était possible d'user de la Fantasy pour passer les messages les plus "polémiques" sur notre propre monde. Trois ans et 5 mois plus tard, j'ai terminé la première partie de mon projet, un pavé de 478 pages en A4 (..... plus de 900 pages pour Nouvelles Plumes, passera-t-il ? Un auteur m'a dit de le couper en deux, mais je n'ai pas de sabre! Et plus je tente de l'améliorer, plus il grossit, le manant) que j'ai envoyé sur NP il y a quelques jours, après quatre mois de correction. En attendant, pour ne pas mourir noyée par l'attente, j'écris la suite.
Ce que j'aime dans une histoire, au-delà des miroirs de notre monde réel pour la Fantasy (je lis de tout, mais vous l'aurez compris, j'ai une préférence pour la Fantasy, avec juste derrière les romans historiques, fantastiques et les policiers à la Michel Bussi):
- Les personnages complexes et approfondis, dont les chemins se (re)croisent et se séparent au gré des tempêtes. Chacun représente une pièce d'un puzzle dont le lecteur a une vue d'ensemble à la toute fin du récit.
- Les intrigues, les secrets bien gardés, les cicatrices visibles ou non de chaque être, secondaire ou principal.
- Démolir les clichés à coup de boulets de canon. Noyer les fils narratifs habituels, forcés ou rouge sang. Exécrer les personnages manichéens. Pour cet aspect, je vous renvois à mon grand amour : GRR Martin. Longue vie à lui (histoire aussi qu'on ait un jour la suite!)
- Les clins d’œil à des faits historiques, culturels ou sociologiques. Voire à d'autres auteurs qui, me concernant, ont marqué ma vie.
- Les petits détails qui permettent de s'immerger complètement dans l'histoire, de la rendre si réelle que les mots s'effacent pour former des images et des sons, voire des odeurs. Je n'apprécie donc pas les récits qui enchaînent l'action par peur de l'ennui (sauf exception, si les personnages m'accrochent), ceux qui usent de personnages-outils, qui ne développent pas, qui effleurent... qui font pleuvoir les clichés (la femme à choper, le meilleur ami, le héros, le méchant, le comique de service...).
Conclusion : les goûts et les couleurs, n'est-il pas ?
Sinon, je viens de la montagne, je suis née à l'est mais je viens du nord, je cumule les remises en question (je suis végétarienne, apicultrice, zéro déchet, zéro plastique, zéto smartphone, zéro télévision, zéro béton et anti-consumérisme, et tout ceci dans une famille de joyeux viandards consommateurs qui doit me supporter) mais je suis tombée dans la marmite "geek" quand j'étais petite et je n'en sortirai jamais. Bref, j'ai trouvé le chalet FSC à cheminée et j'attends de remplacer la voiture par un cheval, mais... le travail se fait encore loin, géographiquement...
Enfin, j'aimerais - j'ai essayé, vraiment - pouvoir lire des histoires en format numérique, on m'a prêté une liseuse, mais j'en suis totalement incapable. J'ai besoin d'un livre papier. L'odeur et le toucher me sont indispensables pour l'immersion. Un écueil pour l'environnement, mais une vague pour le moment infranchissable avec ma bouée...

Je vous salut.
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Réponses
Bonjour et bienvenue,
Égoïstement je souhaite que ton manuscrit arrive en ligne.
J'ai aussi une préférence pour la Fantasy, avec juste derrière les romans historiques, fantastiques (MAIS pas les policiers à la Michel Bussi). J’aime les personnages complexes et approfondis, les intrigues, les secrets bien gardés, je ne raffole pas des clichés ... je souhaite aussi que GRR Martin nous ponde enfin la suite (peut-être une preuve que nous sommes des optimistes
…). J’approuve sans réserve ton goût pour les petits
détails qui permettent de s'immerger complétement dans l'histoire. Et je
n'apprécie pas non plus les récits qui enchaînent l'action par peur de l'ennui ni
les personnages trop manichéens.
Je vis au sud mais comme toi je viens du nord.
Pour moi la différence entre lire une histoire en format numérique et l’avoir sur papier c’est comme voir "Avatar" à la télé : c’est le même film qu’au cinéma mais il manque le sel du grand écran, du son immersif et de la 3D. C'est bien quand même … mais tellement moins bien !
Bref, avec autant de points de rencontre, il me semble que ton histoire a des chances de m’attirer...
Je te remercie pour ton retour :-)
J'apprécie beaucoup l'analogie avec Avatar! Je ne suis donc pas la seule à souffrir d'une lecture numérique… je connais une grande lectrice qui a envoyé sa bibliothèque sur le firmament au bénéfice d'une liseuse. Cela me laisse dans le même état que si je voyais un cheval à cinq jambes.
J'espère bien entendu que mon pavé saura plaire aux lecteurs de la 1ère étape… en même temps, après lecture de ta réponse, j'appréhende presque cette hypothèse! J'espère ne pas te décevoir
Encore faut-il arriver à l'évaluation. Au pire, j'aurais trouvé une autre âme optimiste pour Les Vents de l'Hiver...
Bonne journée,
On y sent en effet bien ton amour pour les arts narratifs, ce qui augure de bonnes surprises.
Des messages polémiques sur le monde actuel, ah voilà qui est intéressant. Je ne serai donc plus le seul à vouloir mettre un grand coup dans la fourmilière...
Dame @Enitram sera sans doute l'une de tes premières lectrices tant ce que tu décris correspond à ses goûts
Ah, une petite info quand même : mon petit doigt me dit que les dieux de l'Olympe du comité professionnel seraient en fait des déesses
Bienvenue sur NP !
Merci : ) Mais parfois, j'aimerais bien qu'elle me laisse tranquille. Quand je cherche le sommeil, par exemple. Mais non, elle est toujours là, à ronger le cerveau jusqu'à l'obsession ! Si je n'exerçais pas un métier où "raconter" devient ponctuellement possible, il faudrait me brûler.
Sinon :
Cela fait plus d'un mois que mon manuscrit est en attente. Je n'ai pas trouvé de réponse explicite sur le forum donc je pose la question ici-bas. En moyenne, les Déesses ont besoin de combien de temps avant de refuser ou de valider un manuscrit pour l'envoyer en évaluation : un mois, deux, six ? Juste pour savoir, pas d'inquiétude, aucune pression : j'ai encore sept doigts à ronger, et tous mes orteils en réserve.
Sur le mail que j'avais reçu, elles annonçaient une période d'évaluation pouvant aller jusqu'à trois mois.
Si je ne me trompe pas, tu as décidé de l'inscrire au prix de l'imaginaire ? Je crois même que Karine (l'une des "déesses"
Merci beaucoup pour vos réponses !
Comme c'est rude…
J'espérais au moins une réponse du style "Votre manuscrit sera mis en ligne prochainement" avant fin février ^^" Mais je vais prendre mon mal en patience.
Je ne serais pas aussi catégorique que TNK il me semble que parfois les manuscrits sont mis en ligne "par paquets", l'emploi du temps de Karine et de ses collègues doit être déterminant. Je ne voudrais pas te donner de faux espoir mais c'est la saison des cadeaux... tu auras peut-être la réponse avant Noël ...
Et après avoir reçu la confirmation qu'il sera mis en ligne il te faudra patienter pour le voir apparaître, et après il te faudra patienter jusqu'à ce que tu t'aperçoive que des profils lecteurs indiquent "dernier livre évalué : ... le tien ! ", et après ... patience encore ... NP est une école de la patience !
Espoir de Schrödinger ? Quand Noel sonnera, je saurai !
Bien entendu, ma quête d'un éditeur a démarré en 2019, soit un paquet d'années après mon premier gribouillage, et 42 mois après la première lettre du manuscrit proposé sur NP, donc quelques mois de plus ou de moins... mais franchir UNE étape, même s'il ne s'agit que de la première, est déjà une explosion de bien-être qui permettrait de récupérer un peu de jauge de patience.
Je vous remercie encore de partager sur ce forum votre expérience sur le parcours NP !
Je viens de calmer dix minutes d'hystérie mentale !
Aujourd'hui est un grand jour pour moi car je m'avance un peu plus vers l'âge de la sagesse (petit clin d'œil à TNK : vers le youpala).
Entre deux copies bourrées de fautes, je me rends dans ma boite mail, et là, que lis-je ?
Votre livre n'a pas été retenu à l'évaluation pour les raisons suivantes :Fichier trop volumineux, il dépasse le million de signes, et le risque de ne pas obtenir d'évaluation est très élevé. Précision : Ce sont les lecteurs eux-mêmes qui nous ont aidés à fixer ce maxima, pour maximiser vos chances.
*AVC*
Mon cerveau malade pouvait presque lire les mots invisibles, coincés en bas de la page : " et joyeux anniversaire de la part de l'équipe NP ! haha ".
* GAME OVER *
Avant de sauter par la fenêtre, je me suis tout de même rendue sur le site. Dans ma tête remontaient vos propos "Oui, Boileau, -10%, toussa), ce qui n'allait pas empêcher l'arrêt cardiaque imminent pour autant. Finalement, -10% ou pas, pas certaine qu'il passait sous le seuil du million de caractères… mon tome II à lui tout seul approche le million.
Et là, je meurs une seconde fois, tandis que je contemple les mots dudit mail à côté de mon manu. Fichier trop volumineux. Fichier trop volumineux. Fichier trop volumineux.
J'ouvre la fenêtre, prépare le saut final…(et je me dis que ça caille, l'air de rien)…
Mais que vois-je, là, juste sur la droite du premier manuscrit ?
- Titre - V2
Votre manuscrit a été sélectionné et va être évalué. Merci pour votre patience.
Prix de l'Imaginaire 2020
*AVC*
Une Déesse a clairement porté assistance à personne en danger
Je ne pense pas qu'il sera en ligne avant fin février, je lui ferai une page publicitaire au moment opportun. Pour le moment je dois calmer mon rythme cardiaque. Mais je ne vous cache pas que cette histoire (et ce malentendu, il est étrange de recevoir les refus par mail mais pas les acceptations!) aura fait ma journée :-)
On va peut-être attendre pour le Youpala et pour la reprise de "I believe I can fly".
Par contre, grâce à toi nous savons à présent que les titres dépassant le million de signes ne sont pas (plus ?) acceptés. L'info est importante.
Du coup, oui et non. Ils ont accepté la deuxième version que j'avais partagée (début janvier!) alors qu'elle a quasiment le même nombre de signes (1 364 000). Ils ont refusé la première version, je pensais d'abord (de toute évidence) pour éviter que le même manuscrit se retrouve deux fois en ligne, mais en fait pour un motif qu'ils n'ont finalement pas appliqué à la V2 (sauvant de ce fait mon existence !).
Je tremble encore ! Si je n'avais pas mis la V2…
Bizarre...
Cela dit, il est fort probable que la V1 ait été refusée du fait qu'il y ait une V2. Mais alors pourquoi ne pas donner cette justification, totalement audible ?!?
Cela dit, la limite de 1.000.000 dans l'absolu ne me semble pas dingue. Déjà avec mon 870.000 signes je passe pour un évadé de l'asile...
(C'est une bonne chose de te retenir de sauter par la fenêtre)
Johan, lui, est déjà vainqueur dans la catégorie "plus court message"
Mon petit doigt me dit que dans la catégorie gros pavé, @Emamka ne sera même pas la number one car il y a plus épais qui devrait faire son apparition
Mais ne t'inquiète pas, personne ne viendra te juger ici sur NP pour ce genre d'échappée gazeuse
Qui te dit que je parlais de moi ?
Mon Dieu mon Dieu, vous illuminez mes journées x) Heureusement que j'ai un peu d'huile essentielle à la lavande qui traîne. J'en mets un peu sur ce post, vous ne m'en voudrez pas ?
Mais sinon TNK, qui d'autre a envoyé un chèque de 1 000 euros aux Déesses ?!
Bon, par grave, car heureusement, la taille ne compte pas :]
Mon manu en cours en est au plan : il n'y a donc pas de nombre de caractères encore.
Le seul élément écrit (mais qui sera retravaillé) est le prologue qui fait 579 caractères espace comprises... pas vraiment encore un pavé ! (mais je m'attends à du 900.000 caractères à la fin).
Le prochain que je veux présenter, sous réserve des corrections que mes bétalecteurs me conseilleront, pèse 514490 signes, espace comprises (soit 343 pages selon la norme NP).
Autant dire un nain à côté du manuscrit d'@Emamka
Par rapport au prologue, sa longueur ne signifie rien : le mien pèse 1,5 page word, autant dire rien, dans un manu où les chapitres s'étendent sur 30, 40 pages…
Tu peux très bien nous écrire une bible, TNK, et venant d'un humoriste en chemise à fleurs (8 mois sur 12, ok), aux lunettes presque rondes et au projet de chevelure dense je trouve ça extrêmement marrant : ]
Sinon, par rapport au nombre de pages, j'aimerais qu'il s'agisse d'un gage de qualité mais bien entendu, il n'en est rien! Je stress de plus en plus d'ailleurs, alors que je pensais être détendue une fois passer la pré-éval. Quand je lis sur d'autres post que des pointures (poussées par des agents) se servent du concours de l'Imaginaire, je me liquéfie. Poursuivre l'écriture du second tome devient une torture! A mon avis, je vais ressembler au paysage de Verdun d'ici mai x)
D'ailleurs, j'espère juste qu'il ne s'agit pas d'une prémonition de l'avis général de mes éventuels futurs lecteurs XD
Je trouve ça un peu dommage par contre que certains ne viennent sur NP que pour s'inscrire aux prix et détourner le système. J'ai bien conscience que c'est une remarque faite par un moment de possession de mon corps par un bisounours x) mais d'un autre côté cela veut aussi dire que NP est connu et a du succès, ça fait plaisir
Non non, son agent ne l'a pas poussé à venir au prix de l'imaginaire, ça aurait été une initiative personnelle, avortée par ailleurs (l'auteur en question a checké l'historique des prix de l'imaginaire et a remarqué que les gagnants ont très majoritairemnt été des 1ers tomes de sagas : Les ailes d'émeraude 1-2-3, L'hayden 1-2, Le royaume d'Esiah 1-2-(3?), Les Syyrs 1-(2?)... et comme il n'a pas l'intention d'écrire une suite à son roman...)
Dommage cependant qu'il ne participe pas, car son roman, sorte de mélange de Galactica, d'Alien et de Star Trek avec une touche de 2001 a le niveau d'un Arthur C. Clarke au niveau du mystère et d'un Michael Crichton au niveau du rythme et du côté cinématographique. Il aurait fait un parfait prix de l'imaginaire.
Quant à mon roman qui fera probablement aux alentours de 900.000 pages, c'est probablement le projet le plus hard que j'ai entamé. Là je viens d'isoler une faiblesse du scénario, à laquelle je vais devoir m'efforcer de trouver une solution (que je pense néanmoins avoir trouvée, mais ça me fait quand même 66 chapitres à revoir en fonction de celle-ci... rassure-toi, je suis plutôt adepte de chapitres courts... en général).
A noter que l'héroïne de ce dernier aura les cheveux longs, des lunettes presque rondes, et peut-être même un chemisier à fleurs