Est-ce que vous aimez quand on mélange les styles ? Le Policier Fantastique, le post-apo en fantasy, par exemple ?
J'adore le mélange de genres ! C'est ce que je préfère lire et aussi ce que j'écris Brumes à Mer est très difficile à faire entrer dans un seul genre puisque c'est à la fois de l'Urban-Fantasy, ainsi qu'un Thriller, avec une pointe de Science-Fantasy. Du coup, avec ma bêta lectrice, on a pris la décision de parler de Dark-Urban-Fantasy. Mais bon, ça ne parle pas forcément à tout le monde et pour l'édition, je ne préfère même pas en parler ^^' Là je viens de commencer Le Paris des Merveilles et j'aime déjà énormément le contexte dans lequel ça se passe
Je suis résolument POUR les mélanges, c'est aussi ce que je
préfère.
L'une de mes lectures favorites reste toujours la ballade de
Pern. Si on démarre dans un univers de science-fiction avec les vaisseaux, l'arrivée
des colons, les modifications génétiques pour créer les dragons, les fils, on
évolue pourtant dans une atmosphère de fantasy médiévale avec l'organisation
des forts et des ateliers.
Le "Rêve de Fèvre".de G.R.R.Martin est un mélange
de récit historique – avec ces bateaux à aube qui parcouraient le Mississippi en
1857, l'esclavage et la guerre de Sécession – et de roman fantastique avec le mythe du
vampire revisité.
Jean-Paul Le Denmat a mêlé dans "La nef des damnés"
l'anticipation (même si avec sa pandémie qui se passe en 2012 il a été rattrapé par l'actualité) à une enquête policière, avec une touche
de fantastique.
Dans "la Fileuse d'argent" Naomi Novik met des accents
de conte slave dans sa Fantasy.
Je n'ai pas apprécié La trilogie de Wielstadt (pour moi c'était juste une histoire de chasse aux démons sans vraiment d'attrait) mais comme Valérie j'ai
quand même mis dans ma PAL Le Paris des Merveilles, on verra
Je suis résolument POUR les mélanges, c'est aussi ce que je
préfère.
L'une de mes lectures favorites reste toujours la ballade de
Pern. Si on démarre dans un univers de science-fiction avec les vaisseaux, l'arrivée
des colons, les modifications génétiques pour créer les dragons, les fils, on
évolue pourtant dans une atmosphère de fantasy médiévale avec l'organisation
des forts et des ateliers.
Le "Rêve de Fèvre".de G.R.R.Martin est un mélange
de récit historique – avec ces bateaux à aube qui parcouraient le Mississippi en
1857, l'esclavage et la guerre de Sécession – et de roman fantastique avec le mythe du
vampire revisité.
Jean-Paul Le Denmat a mêlé dans "La nef des damnés"
l'anticipation (même si avec sa pandémie qui se passe en 2012 il a été rattrapé par l'actualité) à une enquête policière, avec une touche
de fantastique.
Dans "la Fileuse d'argent" Naomi Novik met des accents
de conte slave dans sa Fantasy.
Je n'ai pas apprécié La trilogie de Wielstadt (pour moi c'était juste une histoire de chasse aux démons sans vraiment d'attrait) mais comme Valérie j'ai
quand même mis dans ma PAL Le Paris des Merveilles, on verra
La Ballade de Pern a l'air génial ! Ce qui me fait un peut peur, c'est le nombre de livres qu'il y a ^^' Sinon, j'ai ma bêta lectrice qui écrit en ce moment une série de romans qui vont mêler enquêtes policières et magie, tout ça situé en Bretagne ! J'ai tellement hâte d'en découvrir plus !!
La version que j'ai du Paris des Merveilles est celle intégrale avec les illustrations. Celles-ci sont absolument sublimes !
J'ai beaucoup aimé les deux premiers tomes du Paris des Merveilles. Ils m'ont beaucoup marqué et c'est un univers qui m'a vraiment marqué ! L'histoire m'a moins inspiré que l'univers dans lequel elle s'inscrivait, mais elle a réussi à me transporter et me faire rêver.
Je pose la question parce que j'ai de plus en plus de mal avec les étiquettes, comme toi, @Hoinard Valérie. J'ai écrit des textes et je réfléchis à comment je vais les faire entrer dans des cases. C'est pas très important, les cases, mais ça aide à aiguiller les lecteurs et lectrices. Savoir si ce livre est pour eux, à cet instant précis.
Pour la fantasy post-apo ça peut vouloir dire tellement de choses, puisque par définition dans un monde autre que le nôtre, tout peut arriver pour être cette apo, et pas juste un souci climatique ou nucléaire, ou des zombies.
Alors en Fantasy Post Apo, c'est assez amusant parce que je pensais non pas à un livre, mais au dernier Zelda. L'ambiance qui s'en dégage me plonge vraiment dans un univers post-apo mystérieux. On ne sait pas vraiment comment les choses ont mal tourné, mais on sent que tout un pan de la civilisation s'est effondré. C'est super intéressant, je trouve, comme narration.
J'ai beaucoup aimé les deux premiers tomes du Paris des Merveilles. Ils m'ont beaucoup marqué et c'est un univers qui m'a vraiment marqué ! L'histoire m'a moins inspiré que l'univers dans lequel elle s'inscrivait, mais elle a réussi à me transporter et me faire rêver.
Je pose la question parce que j'ai de plus en plus de mal avec les étiquettes, comme toi, @Hoinard Valérie. J'ai écrit des textes et je réfléchis à comment je vais les faire entrer dans des cases. C'est pas très important, les cases, mais ça aide à aiguiller les lecteurs et lectrices. Savoir si ce livre est pour eux, à cet instant précis.
Je pense aussi que ça va être l'univers qui va plus me fasciner que le reste, mais c'est aussi souvent le cas avec l'imaginaire ^^'
Je suis d'accord avec toi pour les cases, malheureusement si on veut être publié dans une maison d'édition, très souvent et en particulier pour un primo roman, les cases sont indispensables... Non seulement, elles aiguillent le lecteur, mais elles le rassurent aussi Et puis les maisons d'édition sont des entreprises, dont le but premier est de vendre, c'est une réalité à prendre en compte
Et, et dans les maisons d'édition on ne s'embarrassera pas des subdivisions en fantasy : c'est de la fantasy, c'est déjà bien assez. Le but est aussi de ne pas rebuter les lecteurs, et d'accrocher un public et surtout le fidéliser. Donc on a besoin de cases. Et même en tant que lecteur je dirais : on trie entre ce qu'on aime et ce qu'on aime pas, et avoir des cases permet de savoir vers où se diriger ou vers où ne pas se diriger
Et, et dans les maisons d'édition on ne s'embarrassera pas des subdivisions en fantasy : c'est de la fantasy, c'est déjà bien assez. Le but est aussi de ne pas rebuter les lecteurs, et d'accrocher un public et surtout le fidéliser. Donc on a besoin de cases. Et même en tant que lecteur je dirais : on trie entre ce qu'on aime et ce qu'on aime pas, et avoir des cases permet de savoir vers où se diriger ou vers où ne pas se diriger
Réponses
Je suis résolument POUR les mélanges, c'est aussi ce que je préfère.
L'une de mes lectures favorites reste toujours la ballade de Pern. Si on démarre dans un univers de science-fiction avec les vaisseaux, l'arrivée des colons, les modifications génétiques pour créer les dragons, les fils, on évolue pourtant dans une atmosphère de fantasy médiévale avec l'organisation des forts et des ateliers.
Le "Rêve de Fèvre".de G.R.R.Martin est un mélange de récit historique – avec ces bateaux à aube qui parcouraient le Mississippi en 1857, l'esclavage et la guerre de Sécession – et de roman fantastique avec le mythe du vampire revisité.
Jean-Paul Le Denmat a mêlé dans "La nef des damnés" l'anticipation (même si avec sa pandémie qui se passe en 2012 il a été rattrapé par l'actualité) à une enquête policière, avec une touche de fantastique.
Dans "la Fileuse d'argent" Naomi Novik met des accents de conte slave dans sa Fantasy.
Je n'ai pas apprécié La trilogie de Wielstadt (pour moi c'était juste une histoire de chasse aux démons sans vraiment d'attrait) mais comme Valérie j'ai quand même mis dans ma PAL Le Paris des Merveilles, on verra
La version que j'ai du Paris des Merveilles est celle intégrale avec les illustrations. Celles-ci sont absolument sublimes !
Je pose la question parce que j'ai de plus en plus de mal avec les étiquettes, comme toi, @Hoinard Valérie. J'ai écrit des textes et je réfléchis à comment je vais les faire entrer dans des cases.
Alors en Fantasy Post Apo, c'est assez amusant parce que je pensais non pas à un livre, mais au dernier Zelda.
Je suis d'accord avec toi pour les cases, malheureusement si on veut être publié dans une maison d'édition, très souvent et en particulier pour un primo roman, les cases sont indispensables... Non seulement, elles aiguillent le lecteur, mais elles le rassurent aussi